👉 Notre étude sera centrée sur le 2ème chapitre du traité Makkot, qui traite de l’homicide involontaire et des « villes refuges ». Seule une certaine catégorie d’homicide involontaire (shogeg) est passible de la peine d’exil (galout) dans les villes refuges. À travers ce cas, deux questions fondamentales sont abordées dans ce chapitre :
1/ Comment penser la relation entre l’intention et l’acte ?
2/ L’exil est-il une protection, une punition ou une réparation, et relève-t-il d’une responsabilité individuelle ou collective ?
Nous nous attacherons à étudier ces questions par l’étude patiente, technique et réfléchie des textes.
La participation à cette étude suivie demande assiduité et préparation entre les séances.